A la question d’un journaliste en 1997 :
« Mère Térésa, quel est le plus grand malheur du monde actuel ? »La réponse de Mère Térésa fut :
« Ce n'est pas la misère ou la famine, dont sont victimes tant de pauvres, ce ne sont pas les guerres, et les catastrophes de toutes sortes, c'est la Communion dans la main qui est ce manque de respect, vis-à-vis de la personne de Jésus- Christ » .
Lors de la Messe de la Fête-Dieu, le 22 mai 2008, Benoît XVI a dit :
« S'agenouiller devant l'Eucharistie est une profession de liberté : celui qui s'incline devant Jésus ne peut et ne doit se prosterner devant aucun pouvoir terrestre, aussi fort soit-il. Nous les chrétiens nous ne nous agenouillons que devant Dieu, devant le Très Saint Sacrement, parce qu'en lui nous savons et nous croyons qu'est présent le seul Dieu véritable, qui a créé le monde et l'a tant aimé au point de lui donner son Fils unique. La communion à genoux est une tradition ancienne qui existe depuis des siècles, et, d'autre part, elle est un geste particulièrement expressif d'adoration, tout à fait approprié à manifester la vraie présence réelle et substantielle de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans les espèces consacrées ».Dans son exhortation apostolique Sacramentum Caritatis du 22 février 2007 au numéro 65, le pape Benoît XVI a écrit :
« ... Je pense, d'une manière générale, à l'importance des gestes et des postures, comme le fait de s'agenouiller pendant les moments centraux de la prière eucharistique »Le Pape Benoît XVI, au sanctuaire de Fatima le 13 mai 2009, avait fait savoir que lui-même ne distribuerait la Communion que sur la langue.